Dans une petite salle à plafond élevé, le président Besson anime une audience entouré de robes noires et de piles de conclusions. En février, aucun client n’est présent, car leur situation ne leur permet pas de s’exprimer adéquatement. Me Emmanuelle Cruzillac souligne que même si les clients peuvent recevoir une compensation, celle-ci reste insuffisante par rapport aux préjudices subis, ce qui explique leur absence et son message leur conseillant de rester chez eux.
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Une journée typique à la « chambre des innocents » : jusqu’à 10 millions demandés pour le « traumatisme éveillé par la prison »
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