Thomas François, vice-président d’Ubisoft, a fait sensation en entrant dans l’open space avec des salutations provocatrices, s’adressant à son assistante et à l’équipe de manière osée. Selon lui, ces remarques étaient « presque affectives » et visaient à « faire tomber les barrières sociales ». Ce comportement a eu lieu lors de son témoignage le 2 juin, illustrant une culture d’entreprise controversée au sein de cette entreprise mondiale de jeux vidéo, qui génère 1,9 milliard d’euros de chiffre d’affaires et emploie 18 000 personnes à Montreuil, en Seine-Saint-Denis.
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Ubisoft Executives on Trial for Sexual and Moral Harassment: « To Create Fun, You Must Be Fun »
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