En 2024, la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) a reçu 1,3 million d’appels, dont beaucoup ne nécessitaient pas une intervention d’urgence. Les fausses alertes ont diminué, passant de 5 998 en 2017 à 863 en 2024. Pour distinguer les appels utiles des inutiles, des opérateurs formés analysent les comportements des appelants, soutenus par une musique d’attente dissuasive. Cette méthode vise à éviter des tragédies, comme celle de Naomi Musenga en 2017. La BSPP a affiné ses processus d’identification grâce à l’analyse des rapports d’intervention, améliorant ainsi le tri des appels pour une réponse plus efficace.
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Paris : comment les pompiers ont réduit de 75 % les interventions inutiles suite à des canulars
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