Lors de son procès à Paris, un ancien rebelle syrien, imputé de complicité de crimes de guerre, se décrit comme un « informateur »

Un ex-rebelle syrien, Majdi Nema, s’est présenté comme un « lanceur d’alerte » lors de son procès à Paris pour complicité de crimes de guerre. Accusé d’avoir recruté des mineurs pour son groupe, Jaysh al-Islam, entre 2013 et 2016, il conteste ces accusations, affirmant avoir quitté le groupe en 2016. Nema a essayé de dénoncer le recrutement d’enfants, mais la Turquie a refusé de poursuivre l’affaire. Sa loyauté envers Jaysh al-Islam a été questionnée, mais il soutient que ces factions ont combattu le régime d’Assad. Le procès continue avec des témoignages prévus.



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