L’environnement économique algérien : un terreau propice pour des partenariats d’investissement authentiques avec les pays africains

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L’environnement économique algérien favorable à l’établissement de « véritables » partenariats d’investissement avec les pays africains

Résumé du Forum Africain d’Investissement et de Commerce à Alger

Le ministre du Commerce extérieur, Kamel Rezig, a lancé un appel aux investisseurs algériens et africains pour établir de véritables partenariats d’investissement lors du Forum africain d’investissement et de commerce (AFIC) à Alger. Ce forum a rassemblé près de 1000 opérateurs économiques et experts de 43 pays, marquant un important moment pour l’Algérie en tant qu’émergence économique.

Rezig a souligné que l’Algérie, grâce à son environnement économique en amélioration, présente des perspectives prometteuses. Il a incité les participants à exploiter les ressources abondantes du pays pour établir des partenariats économiques solides et conclure des contrats commerciaux significatifs. La prochaine décennie, selon lui, sera celle de l’Algérie et de l’Afrique, avec des opportunités à court terme et à long terme à saisir.

Il a également mis en avant des projets majeurs, notamment la route transsaharienne, qui renforcera le commerce intra-africain et reliera les pays africains sans littoral à l’Europe. L’Algérie, sous l’orientation du président Abdelmadjid Tebboune, a entrepris des réformes pour améliorer le climat des affaires, assurant une stabilité législative pour attirer les investissements.

Rezig a évoqué la foire commerciale intra-africaine (IATF 2025) qui se tiendra en Algérie en septembre, considérée comme une opportunité pour les entreprises algériennes d’accroître leur accès au continent. Il a encouragé les entreprises à signer des accords lors de cet événement, visant des contrats commerciaux évalués à 44 milliards USD.

Le ministre des Travaux publics, Lakhdar Rekhroukh, a également souligné l’importance du développement des infrastructures pour stimuler l’intégration économique. Ce développement est vu comme un levier stratégique pour l’unité nationale et l’ouverture régionale. Plusieurs projets ont été réalisés, comme la route transsaharienne, qui connecte six pays sur 10 000 km.

Rekhroukh a également souligné la capacité technique des compétences nationales, qui peuvent être partagées avec d’autres pays africains. L’Algérie est prête à soutenir la coopération africaine et à partager son expertise pour le développement de projets de connexion intra-africains.

Omar Rekkache, directeur de l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI), a insisté sur la nécessité d’accélérer l’intégration économique sur le continent, notamment dans le domaine des investissements. Malgré le potentiel économique de l’Afrique, le commerce intra-africain ne représente que 15% des échanges continentaux. Rekkache a également signalé que la majorité des investissements proviennent de l’extérieur.

Il a noté que l’amélioration du climat des affaires est une priorité stratégique pour les autorités algériennes, garantissant un environnement d’investissement attractif grâce à une législation favorable et à des dispositifs institutionnels transparents.

Au total, cette rencontre à Alger témoigne d’une volonté collective de renforcer les liens économiques entre l’Algérie et le reste de l’Afrique, en tirant parti des ressources et des compétences disponibles pour créer de réelles opportunités d’investissement et de développement.


Cela représente une version résumée intégrant les éléments clés de l’événement tout en respectant un format réduit. Si vous avez besoin de plus de détails ou d’autres sections, faites-le savoir !

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