L’article aborde le phénomène des « ambassadeurs fantômes » à l’UNESCO à Paris, qualifié de mafieux. Ces ambassadeurs, souvent peu connus, exploitent leur statut pour des activités lucratives, mêlant diplomatie et intérêts personnels. Le texte révèle comment des individus profitent de leur position pour obtenir des financements et des avantages, mettant en lumière une face cachée de l’organisation. Les pratiques opaques soulèvent des questions sur l’intégrité des missions culturelles et éducatives de l’UNESCO, illustrant les tensions entre idéaux et réalités au sein d’institutions internationales. Ce business discret soulève des préoccupations éthiques et opérationnelles.
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« C’est une organisation criminelle » : à Paris, le secret des ambassadeurs invisibles de l’Unesco.
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