Après Bétharram, d’anciens étudiants de Notre-Dame de Garaison racontent leur « cauchemar », trois recours judiciaires engagés.

Des anciens élèves de l’école catholique Notre-Dame de Garaison dénoncent des violences généralisées depuis les années 1970, avec des séquelles durables. Deux plaintes pour viols et agressions sexuelles ont été déposées contre un surveillant. Les ex-élèves se mobilisent sur Facebook et WhatsApp pour partager leurs témoignages, faisant état notamment de sévices corporels, même dans les années 2010. Malgré les dénégations de l’établissement, les victimes cherchent à briser le silence qui a longtemps entouré ces abus, soulignant l’impact psychologique de leur expérience. Ils souhaitent que l’association de violence et discipline cesse dans le cadre éducatif.



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