Dans la nuit du 26 au 27 juillet, à l’approche des Jeux olympiques, des attaques coordonnées ont perturbé le trafic des lignes TGV en France. Des individus ont ciblé des infrastructures ferroviaires, coupant ou incendiant des câbles et équipements électriques. Bien que la piste d’une action d’ultragauche ait été évoquée, le lien avec une ingérence étrangère, notamment russe, a également été soulevé. Dix mois après les attaques, l’identité des auteurs reste inconnue. Des actes similaires ont été observés auparavant, impliquant souvent des groupes radicaux ou des individus aux motivations diverses, comme un rejet de la surveillance de masse.
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Sabotages dans le Sud : des cas marquants… et des enquêtes stagnantes.
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