Lors de sa garde à vue à la section de recherches de Paris, Georges a révélé qu’il avait contacté un musée espagnol quelques mois plus tôt. En avril, motivé par sa curiosité pour un pistolet D calibre 9 mm de la marque Star, il a voulu en savoir plus sur son art et ses inscriptions espagnoles, après qu’un ami lui en ait montré un. Ancien professionnel dans l’orfèvrerie, il a reconnu la valeur de cette pièce et a donc sollicité des informations sur son origine auprès du musée de l’industrie armurière d’Eibar, au Pays basque.
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« Une pièce artistique » : trois collectionneurs témoignent de la manière dont ce pistolet espagnol les a menés en justice.
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